Appel à communications

Sommet international sur le perfectionnement professionnel et la recherche scientifique

Canada-Afrique-Amérique latine et les Caraïbes

En présentiel : Centre des Sciences de Montréal (Canada)
Date : 6, 7, 8, 9 et 10 mai 2024
Code de l’événement: SA 15065
N.B. Lorsque le quota d’inscription sera atteint dans votre pays de provenance, vous ne serez plus en mesure de vous inscrire.
Montréal, le 16 Novembre 2023

Mesdames, Messieurs,

L’Association pour l’Innovation Pédagogique et le Développement Professionnel (AIPDP) a le plaisir de vous inviter à participer au Sommet International sur le perfectionnement professionnel et la recherche scientifique Canada-Afrique- Amérique latine et les Caraïbes. Ce Sommet International qui se tiendra en présentiel à Montréal (Canada) les 6, 7, 8, 9 et 10 mai 2024, portera sur le thème :« Innover pour répondre aux enjeux de la société d’aujourd’hui et de demain ».

Cet événement inédit qui réunira plus de 3 500 participant-es se positionne comme un espace de transfert et de partage d’expériences professionnelles, de recherche scientifique et d’innovations, de réflexions sur les pratiques les mieux adaptées aux contextes Canadien, Africain, Latino-américain et caribéen. Plus précisément, le principal objectif de ce Sommet est de susciter les échanges, les questionnements et les débats entre les étudiants des cycles supérieurs, les jeunes chercheurs, les enseignants-chercheurs et les professionnels de différents domaines, tels que : éducation; santé; technologies de l’information et des communications; ingénierie; assurance; recrutement et ressources humaines, transports et logistique; entrepreneuriat et administration; agriculture, élevage et biodiversité; entretien sanitaire (hygiène et salubrité); sécurité urbaine ; communication et journalisme ; droit et justice; tourisme, hôtellerie et restauration; banque et finances (intelligence artificielle); esthétique et commercialisation de la mode, immigration et intégration, théologie et religion, agents de développement communautaire et humanitaire (société civile, ONG, etc.) ainsi que les professionnels du domaine des arts et de la culture.

Chacun des domaines ci-dessus fera l’objet d’une session où seront présentés les communications, les communications par affiches, les ateliers pratiques/simulations, les témoignages, les récits de pratiques, les tables rondes entre experts, professionnels, chercheurs, pédagogues, décideurs d’organisations internationales, gouvernementales et non gouvernementales, ainsi que les activités artistiques à l’instar de la musique, la danse, la chanson, l’humour, la poésie, le sketh et le slam.

Pendant les cinq (5) jours des travaux, plusieurs autres professionnels et techniciens, conférenciers, start-ups, journalistes et artistes invités de renom venant du Canada, d’Afrique, d’Amérique latine, des Caraïbes et d’ailleurs seront présents pour partager leurs expertises durant cet événement qui se veut à la fois pluridisciplinaire et multisectoriel.

Plus encore, chaque domaine professionnel et de recherche proposera une réflexion approfondie. Les différentes contributions seront présentées sous forme de projet de formation et d’outils innovants en libre accès. Certains travaux retenus par le comité scientifique seront publiés dans la Revue scientifique de l’AIPDP Canada.

Ainsi, cet événement professionnel, scientifique, culturel et artistique favorisera non seulement le réseautage avec les institutions Canadiennes (entreprises, collectivités publiques, institutions de recherche, etc.), mais aussi le partage d’expertise et le transfert de compétences entre les professionnels et les autres spécialistes venant du Canada, d’Afrique et des Caraïbes. Le programme sera disponible sur le site web (www.aipdp.org) dès le 15 décembre 2023.

Tout en vous remerciant pour l’intérêt que vous portez à cette invitation, nous vous prions d’agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de notre plus haute considération.

Coordialement,
Pour le Comité scientifique,

Président, AIPDP Canada
7895, rue Notre-Dame Est, Suite # 209
Montréal, Québec, H1L 3K7
Courriel : comitescientifique@aipdp.org
Site Web: www.aipdp.org

Le monde est de plus en plus confronté à des défis multidimensionnels qui transcendent les frontières nationales. Les questions environnementales, économiques, sociales et sanitaires qui en découlent exigent une collaboration internationale et des solutions novatrices. Riches de leurs diversités et de leurs expertises, le Canada, l’Afrique, l’Amérique latine et les Caraïbes doivent unir leurs forces pour façonner un avenir meilleur et durable qui leur soient communément rentables.

 Le Sommet international sur le perfectionnement professionnel et la recherche scientifique Canada-Afrique-Amérique latine et des Caraïbes qui se déroulera en présentiel à Montréal (Canada) les 6, 7, 8, 9 et 10 mai 2024 sur le thème : «Innover pour répondre aux enjeux de la société d’aujourd’hui et de demain » vise notamment à :

  1.  Encourager les partenariats professionnels en facilitant les échanges entre les acteurs économiques, les chercheurs et les institutions des quatres régions (Canada-Afrique-Amérique latine et les Caraïbes);
  2.  Favoriser le transfert de connaissance, le développement des compétences et d’expertise afin de stimuler l’innovation et la croissance des entreprises;
  3.  Promouvoir les partenariats de recherche en encourageant la coopération entre les collectivités publiques, les universités et les institutions de recherche pour résoudre les problèmes urgents qui affectent nos sociétés dans le but de favoriser l’émergence de projets collaboratifs à fort impact.
  4.  Encourager les œuvres artistiques et culturels en mettant en relief la richesse de chaque région, ce qui permettrait de créer des ponts entre les différents peuples et encourager les échanges et les projets culturels communs.

Ce Sommet s’articulera donc autour de trois principaux axes:

La recherche scientifique est un moteur puissant du progrès. Ce Sommet international qui se veut à la fois pluridisciplinaire et multisectoriel, offrira un espace propice aux échanges entre chercheurs, académiciens et experts afin de créer des synergies et développer des solutions novatrices face aux enjeux majeurs de notre époque. Des sessions plénières, des présentations par affiches, des présentations de projets de recherche et des groupes de travail thématiques seront organisés pour catalyser la coopération scientifique.

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous : * Proposition des communications orales * Proposition des ateliers pratiques / Simulations * Proposition des récits de pratiques * Proposition des témoignages * Proposition des présentations par affiches * Modalités d’évaluation des communications Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou cliquer ici pour vous inscrire au Sommet.
  •  L’art et la culture sont des vecteurs essentiels de compréhension et de rapprochement entre les peuples. Ces secteurs d’activités sont non seulement des moteurs importants de l’économie, mais aussi des contributeurs essentiels à l’identité du pays et au bien- être de la population.

    Les secteurs des arts et de la culture favorisent la création des liens qui vont au-delà des différences et offrent un forum pour la compréhension et les échanges intergénérationnels, interculturels et internationaux. Plus précisement, ces secteurs donnent du sens et forgent une identité collective plus forte fondée sur des valeurs communes. Le Sommet célébrera la diversité artistique des régions représentées, favorisant ainsi les échanges culturels et la création artistique collaborative et durable. Des expositions, des performances et des ateliers artistiques permettront de tisser des liens durables entre les communautés créatives québecoises, canadiennes, africaines latino-américaines et caribéennes. Ce Sommet se veut donc une plateforme d’innovation, de partage et de création de synergies visant à bâtir un avenir durable et prospère pour le Québec, le Canada, l’Afrique et les Caraïbes. Nous sommes convaincus que nos efforts mutualisés seront plus efficaces pour relever les défis de la société d’aujourd’hui et de demain. Ainsi, plusieurs activités artistiques à l’instar de la musique de Kora, la danse folklorique, la chanson, l’humour, la poésie, le sketh et le slam seront présentées à l’ouverture et à la clotûre. Par la suite, certains artistes renommés, professeurs en art, journalistes et membres du conseils des arts tenteront de répondre aux différentes questions à travers les échanges et les débats issus des communications orales, des témoignages et des tables rondes. Bien que les réponses aux différentes questions (cidessous) pourront varier en fonction des contextes culturels et des perspectives individuelles, il n’en demeure pas moins qu’elles seront essentielles pour façonner l’avenir de l’art et de la culture dans nos sociétés. Il s’agit notamment des questions suivantes :

    Quel est l’apport d’un évènement culturel dans une société?

    Qu’est-ce que la musique pourrait amener aux personnes qui l’écoute?

    Comment peut-on expliquer l’ascension d’acquisitions d’arts?

    Quelles sont les stratégies efficaces pouvant aider les artistes à vivre de leur art?

    Comment rendre l’art et la culture accessibles à un public plus large, en particulier aux personnes défavorisées ou sous-représentées ?

    Comment équilibrer la liberté d’expression artistique avec la nécessité de respecter les valeurs culturelles et sociales, et comment faire face à la censure artistique ?

    Comment l’industrie culturelle et le marché de l’art influencent-ils la création artistique et la culture en général ?

    Comment garantir une représentation équitable et authentique des différentes cultures, des minorités et des voix marginalisées dans l’art et la culture ?

    Comment préserver et restaurer efficacement les œuvres d’art, les monuments historiques et les traditions culturelles pour les générations futures ?

    Comment les échanges culturels mondiaux affectent-ils la diversité culturelle et les identités locales ?

    Comment les avancées technologiques, telles que la réalité virtuelle et l’intelligence artificielle, transforment-elles la création artistique et l’expérience culturelle ?

    Quels sont les enjeux éthiques liés à la création artistique, comme la question de l’appropriation culturelle ou de l’utilisation de matériaux controversés ?

    *** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

Le partenariat professionnel constitue un pilier essentiel de la dynamique économique mondiale. Les échanges et discussions dans cet axe permettront de mettre en avant les opportunités de coopération dans différents domaines tels que : l’éducation; la santé; les technologies de l’information et des communications; l’ingénierie; les assurances; le recrutement, les transports et logistique; l’administration et l’entrepreneuriat; l’agriculture et l’élevage; l’entretien sanitaire (hygiène et salubrité); la sécurité urbaine ; la communication et le journalisme ; le droit; le tourisme, l’hôtellerie et la restauration; la banque et la finance (intelligence artificielle); l’immigration, l’esthétique et la commercialisation de la mode, la théologie et la religion ainsi que les agents de développement communautaire et humanitaire. Chacun des dix-huit (18) domaines professionnels ci-dessus seront abordés à travers les communications scientifiques, les communications par affiches, les ateliers pratiques/simulations, les témoignages, les récits de pratiques, ainsi que les tables rondes entre professionnels, enseignantschercheurs, jeunes chercheurs, pédagogues, décideurs, travailleurs indépendants, membres de la société civile et ONG internationales. Les sessions de réseautage permettront aux participants de nouer des alliances fructueuses et surtout catalyser l’innovation pour relever les défis économiques actuels et futurs.

Le domaine éducatif vise à préparer les individus à fonctionner efficacement dans la société en leur fournissant les compétences nécessaires pour réussir dans leur vie personnelle, professionnelle et sociale. Il englobe un large éventail d’activités et de processus visant à faciliter l’acquisition de connaissances, de compétences, de valeurs et d’expériences par les individus. Le domaine de l’éducation se décline à différents niveaux, allant de la petite enfance à l’enseignement supérieur. Ces différents niveaux comprennent notamment l’éducation préscolaire, l’enseignement primaire, le secondaire, la formation professionnelle, l’enseignement supérieur et la formation continue. L’éducation vise à développer non seulement les compétences académiques, mais aussi les compétences sociales, émotionnelles et morales. Elle favorise le développement intellectuel, l’autonomie, la créativité et la pensée critique. Toutefois, elle est confrontée à divers défis, notamment l’accès inégal à l’éducation, la qualité de l’enseignement, les ressources limitées, les différences culturelles et les évolutions technologiques. À cela, il faut ajouter la discrimination scolaire et l’inclusion des apprenants en situation de handicap.
En effet, les méthodes d’enseignement varient en fonction de l’âge des apprenants, des matières enseignées et des objectifs pédagogiques visés. Ainsi, présenter aux enseignants un programme de formation développé selon l’approche par compétences (APC) s’avère nécessaire, mais demeure insuffisant, car depuis la mise en œuvre de cette approche, les enseignants ont de la difficulté à mobiliser les cadres théoriques et méthodologiques reliés à l’harmonisation objective et rigoureuse des évaluations (Tardif, 2006 & Leroux et Nolla, 2022). D’autres enseignants ont aussi relevé des difficultés vécues dans le processus de développement des pratiques de jugement rigoureuses et valides par manque de formation en évaluation (Leroux, 2016).

Même si depuis plusieurs décennies, les apprenants de différents ordres d’enseignement au Québec et au Canada tirent profit de l’APC, en s’engageant notamment dans des projets personnels, stimulants, imaginatifs, et en mettant à profit les compétences développées au cours de leur cheminement, il semble nécessaire d’offrir aux enseignants une formation continue de qualité «au lieu de croire qu’on puisse développer chez les professeurs une compétence à enseigner des compétences par le simple fait de leur présenter un programme composé de compétences, de leur demander de répartir des compétences dans des cours et d’y accoler des contenus disciplinaires » (Lasnier, 2001, p.4).

Pourtant, les enseignants doivent désormais évaluer les compétences des apprenants en tenant compte des enjeux en présentiel et à distance (Leroux & Nolla, 2022), lesquels sont mis en application dans plusieurs établissements scolaires sans orientation (Gouvernement du Québec, 2015). Ainsi, il est encore possible d’observer chez la plupart d’enseignants une sorte d’incompréhension quant à la vision intégrée de programme construit selon les normes de l’APC et la définition même dudit concept. Cela suppose que les enseignants doivent être suffisamment outillés pour développer rigoureusement les activités d’enseignement, d’apprentissage et d’évaluation. En toile de fond, les propositions articuleront leurs questionnements sur les approches d’enseignement les mieux adaptées pour répondre aux attentes des apprenants d’aujourd’hui et de demain.

De ce fait, dans le cadre de leurs enseignements, comment les enseignants doivent-ils procéder pour éviter le morcellement des compétences dans les programmes de formation et faire intégrer les apprentissages par la réalisation de tâches complexes et significatives, tout en faisant appel à tous les éléments de la compétence ? Quels sont les modèles d’enseignement les mieux adaptés et comment les mettre à profit pour favoriser l’apprentissage chez les apprenants d’aujourd’hui ? Avec les résultats de recherches qui expriment qu’une intégration réussie des technologies numériques visant à soutenir l’enseignement et l’apprentissage nécessite le développement d’une compétence numérique (Gouvernement du Québec, 2018; 2019 & Tremblay, 2020) et des changements pédagogiques/andragogiques consécutifs à un environnement technologique en constante évolution (Roy, Gruslin et Poelhuber, 2020), les enseignants ne doivent-ils pas se tourner vers un modèle d’enseignement intégrateur ? Plus précisément, plusieurs thématiques seront abordées : l’échec scolaire, la violence à l’école, le décrochage scolaire, les approches pédagogiques inclusives, l’approche par compétences, la gestion des classes pléthoriques, la conception universelle d’apprentissage (CUA), les systèmes éducatifs inclusifs en pratique, les stratégies de développement de modèle éducatif inclusif dans lequel les enseignants pourraient se sentir confiants, motivés et engagés et le processus de la transition vers un système éducatif inclusif. L’éducation étant un domaine vaste, complexe qui fait face à de nombreuses problématiques à l’échelle mondiale, les échanges et les débats issus des communications orales, des simulations, des ateliers pratiques, des témoignages et des tables rondes tenteront de répondre aux questions suivantes :

Comment garantir un accès équitable à une éducation de qualité pour tous, indépendamment de la situation géographique, du statut socio-économique ou du genre ?

Comment réduire les écarts de performance scolaire entre les apprenants issus de milieux socio-économiques différents et entre les groupes ethniques ?

Comment améliorer la qualité de l’enseignement, en formant et en motivant les enseignants, en mettant à jour les programmes scolaires et en fournissant des ressources pédagogiques adéquates ?

Comment intégrer efficacement la technologie dans l’éducation, en tirant parti des avantages des dispositifs numériques et de l’apprentissage en ligne tout en évitantm les inégalités d’accès ?

Comment garantir que les enseignants reçoivent une formation continue de qualité pour rester à jour avec les méthodes pédagogiques modernes ?

Comment adapter les programmes éducatifs pour enseigner des compétences pertinentes pour le monde moderne, telles que la pensée critique, la créativité et la résolution de problèmes ?

Comment mobiliser suffisamment de fonds pour financer un système éducatif de qualité, en évitant la surcharge des familles par les frais de scolarité ?

Comment rendre l’éducation inclusive en offrant un soutien adéquat aux apprenants en situation de handicap, aux besoins spéciaux et aux migrants ?

Comment enseigner les valeurs de tolérance, de respect et de compréhension interculturelle dans un monde de plus en plus diversifié ?

Comment relier l’éducation au marché du travail en offrant des compétences qui répondent aux besoins de l’industrie tout en favorisant l’esprit d’entreprise et l’employabilité ?

Comment assurer la continuité de l’éducation en période de crises, telles que les pandémies, les conflits armés ou les catastrophes naturelles ?

Comment préparer les apprenants à la société numérique en développant leurs compétences numériques et en les sensibilisant aux enjeux liés à la sécurité en ligne et à la désinformation ?

Comment aborder les défis liés à l’accessibilité financière et à la pertinence des programmes dans l’enseignement supérieur ?
*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

 Dans la plupart des régions au monde, l’accès aux soins de santé de qualité demeure un défi majeur pour la population. La malnutrition sous toutes ses formes, entres autres la malnutrition infantile et l’obésité, est un problème de santé mondial majeur. Ces principaux problèmes seraient notamment dus aux : (1) difficultés financières, géographiques et culturelles qui pourraient priver l’accès aux soins aux populations; (2) maladies infectieuses, telles que le VIH/SIDA, la malaria, la tuberculose et les nouvelles épidémies virales (comme la COVID-19); (3) maladies non transmissibles, en particulier les maladies cardiovasculaires, le diabète, le cancer et les troubles respiratoires; (4) problèmes de santé mentale, spécialement la dépression, l’anxiété, les troubles bipolaires et la schizophrénie; (5) problèmes environnementaux, tels que la pollution de l’air et de l’eau, le changement climatique et la perte de biodiversité, ont des conséquences directes sur la santé humaine; (6) inégalités en santé, liées à la race, au sexe, à l’âge, à la classe sociale et à d’autres facteurs.

Dans certains pays, la population vieillit rapidement, ce qui pose des défis en matière de soins de santé, de gestion des maladies chroniques et de financement des systèmes de santé. Pourtant, l’accès aux médicaments essentiels à un coût abordable est un problème majeur, en particulier dans les pays à faible revenu. Ces problématiques de santé nécessitent des interventions et des solutions diverses, notamment, l’appui financier du gouvernement, des investissements dans les infrastructures de santé, l’éducation en matière de santé et des mesures pour promouvoir un mode de vie sain. De plus, la pandémie de COVID-19 a mis en évidence la nécessité de renforcer les systèmes de santé et la collaboration internationale pour faire face aux défis de santé mondiale.

Ainsi, les décideurs, médecins, cliniciens, aides-soignantes, praticiens, gestionnaires, patients, gynécologues, chirurgiens, oncoplasticiens, radiologues, pathologistes, oncologues, radiothérapeutes et chercheurs seront invités à partager leurs vécus à travers des récits de pratique, des simulations, des témoignages ou des exemples concrets vécus dans leurs milieux de pratique afin de proposer quelques pistes de solution pouvant soutenir les professionnels du domaine de la santé. Les présentations porteront aussi sur les thématiques suivantes : le système de soins de santé, l’éducation sanitaire, l’autonomie en matière de santé, les déterminants de la santé, les soins de santé primaires, les techniques de prévention des maladies, le système de santé publique. Les interventions visant à favoriser les saines habitudes de vie, le bien-être au travail chez les professionnels de la santé et les différents moyens pour développer des compétences psychologiques en vue d’une meilleure insertion professionnelle seront également abordés.

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
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Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

Les domaines de l’intelligence artificielle (IA), du big data et des technologies de l’information et des communications (TIC) présentent un certain nombre de problématiques importantes. Ces problématiques sont complexes et en constante évolution. Elles nécessitent une attention continue de la part des entreprises, des gouvernements et de la société dans son ensemble, pour garantir que ces technologies soient utilisées de manière responsable et bénéfique pour tous. En effet, les systèmes d’IA peuvent être biaisés en raison des données d’entraînement utilisées, ce qui peut par exemple occasionner des discriminations comme dans des domaines de recrutement ou les prêts bancaires. Les systèmes d’IA peuvent collecter et analyser de grandes quantités de données personnelles, ce qui peut soulever des inquiétudes concernant la vie privée et la sécurité des données. Les décisions prises par les systèmes d’IA peuvent avoir un impact significatif sur la société. Il est essentiel de définir des normes éthiques et de clarifier les responsabilités en cas d’erreurs ou de comportement nuisible des systèmes d’IA. L’automatisation à l’aide de l’IA peut affecter les emplois dans divers secteurs, ce qui pourrait soulever des questions sur la formation et la réorientation des travailleurs. S’agissant des Big Data, ils sont des cibles attrayantes pour les cybercriminels. La collecte, le stockage et l’utilisation de grandes quantités de données soulèvent des préoccupations concernant la protection des données personnelles et la conformité aux lois sur la vie privée. La sécurité des données est une préoccupation majeure, en particulier compte tenu des conséquences potentielles des violations de données.

Concernant les Technologies de l’Information et des Communications (TIC), notons que les cyber-menaces sont de plus en plus sophistiquées, et la sécurité des réseaux, des systèmes et des données est cruciale pour éviter les violations de sécurité. Dans de nombreuses régions, l’infrastructure TIC peut être obsolète, ce qui peut entraîner des pannes et des vulnérabilités. L’accès à Internet rapide et fiable n’est pas uniformément réparti, ce qui peut créer des inégalités numériques. Les TIC évoluent rapidement, obligeant les entreprises à investir dans l’innovation pour rester compétitives. De nombreuses entreprises dépendent de fournisseurs de technologies, ce qui peut entraîner des problèmes de dépendance et de confidentialité des données.

Les communications orales, les simulations, les ateliers pratiques, les témoignages et les tables rondes tenteront de répondre aux questions suivantes : Quelles sont les perspectives de l’IA en milieu éducatif et professionnel ? Comment former de nouvelles générations d’ingénieurs et de techniciens capables d’apprivoiser les technologies de Big Data et d’IA pour les mettre au service des métiers traditionnels ? Comment développer des projets institutionnels qui favorisent le développement professionnel des enseignants et l’amélioration des pratiques d’apprentissage tout en intégrant à la fois l’IA et les Big Data ? Comment faire de l’IA/BigData une technologie innovante relativement aux défis économiques, sociétaux, culturels, sanitaires auxquels nos sociétés font face ? Comment les entreprises du numérique et de l’IA peuvent mobiliser les différents types de formation pour faire face au renouvellement des compétences? Comment améliorer les méthodes d’enseignement et d’apprentissage à partir des plateformes numériques et de l’IA?

Quels sont les apports de la gouvernance éducative dans le processus de mise en place des curricula tout en considérant à la fois l’IA et les Big Data ? Comment garder la maîtrise de ces technologies pour qu’elles restent au service de l’homme et non l’inverse ? Quels rapports peut-on établir entre la « numérisation » de l’enseignement et l’orthographe lexicale chez les apprenants ? Quelle est l’incidence des nouvelles façons d’apprendre sur la performance en lecture et en écriture chez les apprenants ?

*** Pour soumettre une communication, veillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
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* Modalités d’évaluation des communications

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L’ingénierie est un domaine diversifié qui englobe de nombreuses disciplines spécialisées, notamment le génie civil, le génie électrique, le génie mécanique, le génie chimique, le génie informatique, le génie biomédical. Elle se repose essentiellement sur la conception, la science et la technologie pour résoudre des problèmes complexes et améliorer le fonctionnement de la société. Elle contribue à façonner le monde moderne en créant par exemple des infrastructures, des produits et des systèmes innovants tout en respectant les normes de qualité et de durabilité.

Les domaines de l’ingénierie sont en constante évolution. Par conséquent, les ingénieurs en génie (civil, électronique, électrique, mécanique, industriel, informatique, géomatique, géologique, etc.) devraient se tenir au courant des avancées technologiques et des meilleures pratiques tout au long de leur carrière professionnelle. Ils sont supposés utiliser les dernières avancées technologiques, telles que l’intelligence artificielle, l’Internet des objets et la réalité virtuelle, pour créer des solutions innovantes. De ce fait, les ingénieurs doivent absolument se conformer aux normes de sécurité et de réglementation gouvernementale pour garantir la qualité et la sécurité de leurs créations. De nombreux projets d’ingénierie nécessitent une collaboration étroite avec d’autres professionnels, en particulier les architectes, les urbanistes, les scientifiques et les économistes. Ainsi, les ingénieurs doivent adhérer à des codes d’éthique stricts pour garantir l’intégrité de leurs travaux et la sécurité du public. Ces problématiques seront abordés, car ils représentent un éventail de défis importants auxquels les ingénieurs, gestionnaires d’entreprise, chefs d’entreprise, chefs de projet ou toutes autres personnes exerçant dans le domaine de l’ingénierie sont habituellement confrontés. Les conférenciers feront des simulations et répondront aux différentes questions telles que :

Comment concevoir des bâtiments plus écoénergétiques et réduire leur consommation d’énergie tout en maintenant le confort des occupants ?

Comment concevoir des systèmes de gestion de l’eau plus efficaces pour l’irrigation agricole, la distribution d’eau potable et le traitement des eaux usées tout en préservant les ressources en eau douce ?

Comment développer des infrastructures de transport urbain efficaces et durables, en intégrant des modes de transport publics, des véhicules électriques et des solutions de mobilité partagée?

Comment garantir la sécurité des infrastructures critiques telles que les centrales électriques, les réseaux de transport, les systèmes de communication et les réseaux informatiques contre les menaces potentielles ?

Comment améliorer l’efficacité et la sécurité des opérations industrielles en intégrant davantage de robots et d’automatisation, tout en minimisant les perturbations pour les travailleurs ?

Comment concevoir des dispositifs médicaux plus avancés et accessibles, tels que des prothèses, des appareils de diagnostic et des technologies de télémédecine, pour améliorer les soins de santé ?

Comment développer des processus de gestion des déchets plus efficaces et durables, notamment en utilisant des techniques de recyclage innovantes pour réduire les déchets ?

Comment optimiser la production d’énergie à partir de sources renouvelables telles que l’énergie solaire et éolienne, tout en résolvant les défis de stockage de l’énergie ?

Comment concevoir des systèmes informatiques et des réseaux plus sécurisés pour protéger les données sensibles et les infrastructures critiques contre les cyberattaques ?

Comment intégrer des matériaux de construction durables, des pratiques de construction respectueuses de l’environnement et des designs écologiques dans  l’industrie de la construction ?

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Le monde change et l’univers des risques s’étend, et les conditions d’exercice du métier d’assureur se complexifient davantage (Trainar, 2021). La problématique des assurances est donc un sujet vaste et complexe qui englobe de nombreuses questions et défis auxquels sont généralement confrontées les entreprises d’assurance. Barthe (1965), définissait l’assurance comme étant une

« opération par laquelle une partie, l’assuré, se fait promettre, moyennant une rémunération, la prime, pour lui ou pour un tiers, en cas de réalisation d’un risque, une prestation par une autre partie, l’assureur qui prenant en charge un ensemble de risques, les compense conformément aux lois de la statistique ».

Toutefois, certains auteurs à l’instar de Lambert-Faivre (2001) estiment que cette définition ne fait pas référence à l’aspect technique de l’assurance qui pourtant prend en considération les concepts de mutualité et d’organisation scientifique de l’entreprise. Ainsi, cet auteur précise que : « l’assurance est l’opération par laquelle un assureur, organisant en mutualité une multitude d’assurés exposés à la réalisation de certains risques, indemnise ceux d’entre eux qui subissent un sinistre grâce à la masse commune des primes collectées ». Par exemple, l’accessibilité aux assurances peut être un problème pour de nombreuses personnes, en particulier celles qui ont des antécédents médicaux préexistants ou qui vivent dans des zones à haut risque. Certaines populations, comme les personnes à faible revenu, peuvent avoir du mal à accéder à des polices d’assurance abordables. En outre, les coûts des primes d’assurance peuvent être excessifs pour de nombreuses personnes, en particulier si elles recherchent une couverture complète. À cela s’ajoutent les catastrophes naturelles liées aux changements climatiques qui ont un impact significatif sur les assureurs, qui doivent gérer des pertes potentiellement lourdes.

Cette situation peut engendrer un manque de couverture ou une sous-assurance et exposer les individus à des risques financiers importants en cas de sinistre. De plus, les polices d’assurance peuvent être extrêmement complexes, avec de nombreuses exclusions, limitations et conditions. Comprendre ce qui est couvert et ce qui ne l’est pas peut être difficile pour les assurés, ce qui peut entraîner des litiges en cas de sinistre. La fraude à l’assurance, quant à elle, est un problème récurrent qui peut augmenter les coûts pour les assureurs et les assurés.

Les fraudes à l’assurance peuvent prendre de nombreuses formes à l’instar de la fausse déclaration de sinistres ou la surévaluation des pertes. Ainsi, puisque les risques évoluent continuellement en raison des avancées technologiques et des changements climatiques, les assureurs doivent réévaluer et ajuster leurs tarifs ainsi que leurs politiques. Pour ce qui est de la complexité de la réglementation, elle est un défi pour les assureurs à cause des réglementations variables pouvant avoir un impact sur leurs activités. D’ailleurs, avec la montée en puissance des cybermenaces, l’assurance contre les risques liés à la cybersécurité est devenue un domaine complexe et en perpétuelle évolution. Les assureurs doivent aussi prendre en compte les risques liés aux catastrophes naturelles et aux phénomènes météorologiques extrêmes dans leurs modèles de tarification et de souscription. Puisque ces derniers sont habituellement confrontés à des questions éthiques, notamment en ce qui concerne la tarification équitable, la discrimination potentielle et la responsabilité sociale, les décisions en matière de tarification et de couverture peuvent avoir un impact significatif sur les ménages à revenu moyen.

Cette section permettra entre autres aux conférenciers d’étudier les problématiques soulevées, les techniques de la prévention des risques par la mise en œuvre d’un encadrement professionnalisé afin de favoriser chez les assureurs, régulateurs et consommateurs, le développement des stratégies efficaces. De ce fait, les participants auront l’occasion de rencontrer les visionnaires chevronnés afin d’échanger avec eux sur des thématiques communes relatives à la complexité du secteur de l’assurance en général. Cette recontre sera également l’occasion de débattre sur la nécessité d’une réflexion continue sur la manière de fournir une couverture adéquate tout en gérant les risques afin d’assurer une équité pour les consommateurs. Ainsi, les différentes questions ci-dessous, pourront servir de point de départ pour discuter des défis et des opportunités liés à la souscription d’une police d’assurance. Ces spécialistes auront donc à répondre aux différentes questions suivantes :

Quels sont les différents types d’assurance, leur mode de fonctionnement et les principes de tarification?

Quelles peuvent être les obligations légales en matière d’assurance dans un pays ou une région donnée?

Comment choisir la bonne couverture d’assurance en général tout en réduisant son coût ?

Comment fonctionnent les franchises et les déductions dans les polices d’assurance et comment procéder en cas de litige avec une compagnie d’assurances ?

Quelles sont les étapes à suivre après un accident ou un sinistre pour faire une réclamation ?

Quels types de catastrophes sont généralement couverts par une assurance habitation standard ?

Comment puis-je souscrire une assurance spécifique pour les catastrophes naturelles, telles que les tremblements de terre ou les inondations ?

Quelles sont les limites de couverture pour les catastrophes dans une police d’assurance habitation ?

Existe-t-il des programmes d’assurance spéciaux pour les entreprises en cas de catastrophe et comment fonctionne le processus de réclamation en cas de catastrophe ?

Quelles sont les exclusions courantes dans les polices d’assurance en cas de catastrophe et comment procéder pour éviter des pertes non assurées ?

Quelles peuvent être les critères de choix d’une compagnie d’assurance solide et réputée pour faire face aux catastrophes ?

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

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Le domaine du recrutement et des ressources humaines est confronté à de nombreuses problématiques qui évoluent constamment en raison des changements économiques, technologiques, sociaux et législatifs. Les compétences demandées sur le marché du travail évoluent rapidement, et les entreprises ont du mal à trouver des candidats avec les compétences nécessaires. Aussi, les réglementations sur l’emploi et les lois du travail changent fréquemment, ce qui nécessite une mise à jour constante des pratiques de recrutement et de gestion des ressources humaines pour se conformer aux lois. Les entreprises cherchent à créer des équipes plus diversifiées et inclusives, mais elles font face à des défis pour recruter et promouvoir des candidats de différents horizons. Par exemple, les entreprises qui cherchent à étendre leurs opérations à l’échelle mondiale font face à des défis en matière de recrutement, de conformité réglementaire et de gestion de la diversité culturelle.

L’automatisation des processus de recrutement grâce à l’intelligence artificielle et aux logiciels de gestion des ressources humaines peut améliorer l’efficacité, mais elle soulève également des questions sur l’équité et la transparence dans le recrutement. Les technologies numériques ont apporté des transformations significatives dans le domaine du recrutement, des transports et de la logistique. Par exemple, les recruteurs font de plus en plus recours aux sites web et aux applications spécialisées pour permettre aux entreprises de publier des offres d’emploi en ligne afin que les candidats qualifiés puissent postuler facilement. Ils utilisent les algorithmes de correspondance pour faciliter la mise en relation des candidats et des employeurs de manière efficace et efficiente alors que les logiciels d’analyse des curriculum vitæ (CV) se servent de l’intelligence artificielle (IA) pour trier et évaluer les CV des différents candidats en fonction des critères spécifiés au préalable par l’employeur. Les recruteurs font également recours aux entretiens vidéo différés ou en direct, ce qui leur permet d’éviter les déplacements inutiles et de gagner en temps et en argent. De plus, l’IA est aussi utilisée pour analyser les réponses des candidats en temps réel et évaluer leur adéquation avec les compétences recherchées pour le poste.

S’agissant des algorithmes d’analyse prédictive, les recruteurs l’utilisent habituellement pour identifier les candidats les plus compétents et prometteurs en se basant sur des données historiques et des modèles prédictifs. Bien que l’utilisation des technologies numériques dans le domaine du recrutement présente de nombreux avantages, elle est malheureusement confrontée à plusieurs défis et difficultés. En effet, les technologies évoluent de manière exponentielle et les systèmes de recrutement automatisé peuvent devenir rapidement obsolètes. La mise en place de technologies numériques dans le processus de recrutement nécessite un investissement initial important en termes de logiciels, d’infrastructures et de formation du personnel. Pourtant, les entreprises performantes doivent systématiquement investir dans des systèmes de recrutement qui restent pertinents à long terme et participer continuellement aux colloques ou toutes activités où la question de recrutement à l’ère du numérique est abordée.

Les principales difficultés associées à l’utilisation des technologies numériques dans le domaine de recrutement peuvent être liées aux biais algorithmiques pouvant entraîner des discriminations involontaires à l’égard de certains groupes de candidats, notamment en fonction de leur sexe, de leur race, de leur âge ou de leur pays d’origine ou de provenance. On peut ajouter à cela le manque de données pertinentes dans la mesure où, les entreprises peuvent rencontrer des difficultés à collecter suffisamment de données adéquates sur les candidats, en particulier pour des postes spécialisés. Certains aspects des compétences humaines, tels que l’intelligence émotionnelle, la créativité ou la capacité à résoudre des problèmes complexes, peuvent être difficiles à évaluer automatiquement à l’aide de technologies numériques.

Certains candidats peuvent trouver frustrant qu’on les évalue avec des systèmes automatisés et préférer des interactions humaines lors du processus de recrutement. Pour des postes techniques, il pourrait être difficile d’évaluer de manière précise les compétences des candidats à l’aide d’algorithmes. Les employés des ressources humaines et les recruteurs peuvent résister à l’adoption de nouvelles technologies, ce qui pourrait facilement ralentir le processus de transition. Ainsi, chasseurs de têtes, responsables du recrutement, coordinateurs du recrutement, analystes en recrutement, spécialistes en marque employeur, consultant en ressources humaines, responsables de la diversité et de l’inclusion, responsables de la conformité en matière de recrutement seront des conférenciers et panélistes qui partageront leur savoir-faire tout en répondant aux différentes questions en lien avec ce domaine. Il s’agit notamment des questions suivantes :

Quelles stratégies faut-il mettre en place pour trouver des candidats hautement qualifiés et les attirer vers les entreprises ?

Comment faut-il agir durant le processus de recrutement pour éviter la discrimination, que ce soit en fonction de la race, du sexe, de l’âge ou d’autres caractéristiques ?

Le tri et la sélection des candidats sont de plus en plus automatisés, mais comment s’assurer que les systèmes sont justes et non biaisés ?

Garder les talents existants est souvent plus rentable que le recrutement, mais comment faut-il créer un environnement de travail attrayant pour les employés ?

Promouvoir un environnement de travail inclusif et équitable est une préoccupation majeure pour de nombreuses entreprises, mais comment gérer la diversité et l’inclusion ?

L’apprentissage continu et le développement professionnel sont essentiels pour maintenir la compétitivité de l’entreprise. Quelle mesure faut-il mettre en place pour favoriser le développement des compétences des employés ?

Résoudre les différends entre employés et gérer les problèmes de performance peut être un défi pour les RH. Comment gérer efficacement les conflits et les problèmes de performance en milieu de travail ?

Mesurer l’efficacité des pratiques de recrutement et des initiatives en matière de ressources humaines est crucial pour démontrer la valeur ajoutée. Ainsi, comment faut-il évaluer l’impact du recrutement et des RH sur les résultats de l’entreprise ?

L’automatisation, l’IA et les outils de gestion des RH peuvent améliorer l’efficacité, mais comment les intégrer de manière stratégique ?

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Le personnel travaillant dans le secteur des transports et de la logistique, peut être confronté à plusieurs difficultés en raison de la complexité de la gestion des chaînes d’approvisionnement, de la distribution des marchandises et du transport. Il s’agit notamment des gestionnaires logistiques, responsables des opérations de transport, chefs d’entrepôts, planificateurs de la chaîne d’approvisionnement, responsables de la conformité réglementaire, coordonnateurs de la logistique internationale, analystes en logistique, ingénieurs logistiques, responsables de la flotte, planificateurs de l’itinéraire, expéditeurs, chauffeurs de camion, spécialistes en gestion des stocks, responsables de la sécurité en transport. Bien que ces différents professionnels soient amenés à jouer un rôle capital dans la gestion efficace des opérations de transports et de logistique, ils sont souvent confrontés à de nombreux problèmes à l’instar de la fluctuation de la demande, la congestion des infrastructures, les coûts de carburant volatils, les réglementations et conformité, la gestion de la capacité, la gestion de la chaîne d’approvisionnement mondiale, la sûreté et sécurité, la technologie et automatisation, la gestion de la maind’œuvre, la durabilité environnementale et la rupture de la chaîne d’approvisionnement.

Pour faire face à ces difficultés, les entreprises de transport et de logistique utilisent habituellement des systèmes de gestion de flotte qui intègrent des technologies GPS et des capteurs pour suivre en temps réel la localisation des véhicules, surveiller leur état et optimiser les itinéraires. Les algorithmes d’optimisation des itinéraires permettent la une meilleure planification des trajets, ce qui peut réduire de manière significative les coûts de carburant, les émissions de gaz à effet de serre et les temps de livraison. Ces entreprises utilisent des entrepôts automatisés des robots et des systèmes de gestion des stocks basés sur l’IA pour accélérer le processus de picking et d’emballage, réduire les erreurs et améliorer leur efficacité. Les clients peuvent aussi suivre leurs colis en temps réel grâce à des applications mobiles et des notifications, ce qui pourrait contribuer à l’amélioration du système de transparence et la satisfaction de la clientèle.

Actuellement, pour réduire les fraudes, la blockchain est couramment utilisée pour assurer la traçabilité des produits tout au long de la chaîne d’approvisionnement. Dans un contexte où le réchauffement climatique est au centre des préoccupations, le secteur des transports et de la logistique devrait repenser ses activités logistiques pour y intégrer par exemple, des défis liés au développement durable.

Ce Sommet International se veut un moment d’échange, de réflexion et de recherche de pistes de solutions pour tous les acteurs intéressés par les transports et la logistique. Ainsi, les principaux acteurs réfléchiront notamment sur la manière dont les entreprises du secteur des transports et de la logistique peuvent combiner les technologies numériques telles que l’IA, l’Internet des objets, la blockchain et les big data, pour favoriser l’optimisation de leurs opérations, réduire les coûts, améliorer la satisfaction de la clientèle et gagner en compétitivité sur le marché. De plus, ils répondront entre autres aux questions suivantes :

Quelles sont les tendances actuelles en matière de logistique durable et de transport écologique ?

Quels sont les avantages et les inconvénients du transport par camion, par train, par avion et par voie maritime ?

Comment la technologie de l’Internet des objets (IoT) est-elle utilisée dans le domaine de la logistique ?

Comment la logistique inversée (reverse logistics) fonctionne-t-elle et pourquoi est-elle importante ?

Quels sont les défis actuels auxquels l’industrie du transport et de la logistique est confrontée, en particulier en raison de la pandémie de COVID-19 ?

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L’objectif de ce Sommet international est de créer un événement pouvant permette aux gestionnaires, entrepreneurs, travailleurs indépendants de différents domaines, décideurs et universitaires de différents secteurs d’activité de se rencontrer pour échanger sur des thématiques communes afin de partager leur expérience. Faisant preuve de résilience, la problématique dans le domaine de l’administration et de l’entrepreneuriat peut varier en fonction des contextes économiques, sociaux et culturels. Ainsi, plusieurs problématiques seront exposées dans ce domaine où les spécialistes auront à répondre aux différentes questions soulevées autant en milieu professionnel qu’éducatif :

L’engagement des entreprises à utiliser le développement durable est-il un frein à la rentabilité de leurs activités ou, au contraire, une source de prospérité économique et financière durable ?

Comment l’entrepreneuriat responsable peut-il être défini dans un contexte de formation ?

Comment les nouvelles technologies, telles que l’intelligence artificielle, la blockchain et l’Internet des objets, influencent-elles la création et la gestion des entreprises ?

Comment la crise sanitaire a-t-elle influencé la création, la survie et la croissance des entreprises ?

Comment les enseignants d’aujourd’hui peuvent-ils concevoir des outils pédagogiques en visant l’atteinte des ODD ?

Quelles compétences l’entrepreneur responsable doit-il développer ?

Comment les réglementations gouvernementales, à l’instar des normes fiscales, des lois du travail et des règlements environnementaux, affectent-elles la création et la croissance des entreprises ?

Comment l’entrepreneuriat peut-il être utilisé comme un moyen de résoudre des problèmes sociaux et environnementaux tout en générant des bénéfices économiques ?

Comment les entrepreneurs peuvent-ils accéder aux financements nécessaires pour développer leurs entreprises ?

Comment les entreprises peuvent-elles favoriser l’innovation et la créativité pour rester compétitives sur le marché mondial ?

Comment recruter, former et retenir les talents dans le domaine de l’entrepreneuriat, en particulier dans les start-ups ?

Comment les entreprises peuvent-elles intégrer des pratiques commerciales durables et responsables dans leur modèle économique ?

Comment les entreprises peuvent-elles s’adapter et prospérer dans un environnement économique de plus en plus mondialisé ?

Quels sont les principaux défis auxquels sont confrontées les petites entreprises en matière de gestion, de marketing et de logistique ?

Quelles sont les stratégies de mise en place des objectifs de développement durables (ODD) dans les politiques éducatives et les programmes de formation ?

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L’agriculture, l’élevage et la biodiversité sont des domaines interconnectés qui jouent un rôle déterminant dans la production alimentaire, la préservation de l’environnement et le maintien de la diversité biologique de la planète. L’agriculture est l’ensemble des pratiques visant à cultiver des plantes et à élever des animaux pour la production alimentaire, la fibre, les biocarburants et d’autres produits. L’agriculture moderne repose habituellement sur des techniques intensives, l’utilisation d’engrais, de pesticides et de technologies agricoles avancées pour augmenter la productivité. L’élevage concerne l’élevage d’animaux domestiques tels que les vaches, les porcs, les poulets, les moutons, etc., pour la production de viande, de lait, d’œufs, de cuir et d’autres produits. L’élevage industriel est couramment critiqué pour ses pratiques de bien-être animal et ses impacts environnementaux, notamment la déforestation pour l’expansion des pâturages et la production d’aliments pour animaux. Quant à la biodiversité, elle fait référence à la variété des espèces animales, végétales et microbiennes ainsi qu’à la diversité des écosystèmes sur Terre. Elle est indispensable pour la stabilité des écosystèmes, la résilience face au changement climatique et la sécurité alimentaire.

Cependant, des approches durables de l’agriculture et de l’élevage, telles que l’agriculture biologique, la gestion agricole respectueuse de la biodiversité et l’agroécologie, cherchent à minimiser ces impacts et à promouvoir la coexistence entre l’agriculture, l’élevage et la biodiversité. Ainsi, les approches telles que l’agroforesterie, la conservation des terres, la sélection génétique durable et la réduction des déchets alimentaires jouent un rôle important dans la recherche de solutions.

Ces différents domaines sont en constante évolution, avec des avancées technologiques et des politiques en évolution constante pour répondre aux défis mondiaux tels que le changement climatique, la sécurité alimentaire et la conservation de la biodiversité. Au regard de ce qui précède, on constate que la problématique de l’agriculture, de l’élevage et de la biodiversité est complexe et multifacette. Cette problématique souligne l’importance de trouver un équilibre entre la production alimentaire, la préservation de la biodiversité et la durabilité environnementale dans le contexte actuel de défis mondiaux tels que le changement climatique, la croissance démographique et la perte de biodiversité. De ce fait, les propositions de communications orales, les ateliers pratiques, les tables rondes et des témoignages seront articulés autour des questions suivantes :

Comment concilier la croissance de la production agricole et animale avec la préservation de la biodiversité ?

L’expansion de l’agriculture et de l’élevage peut entraîner la destruction d’habitats naturels et la perte d’espèces. Comment peut-on minimiser ces impacts tout en répondant aux besoins alimentaires mondiaux croissants ?

Quels sont les impacts environnementaux de l’agriculture intensive et de l’élevage industriel ?

L’agriculture intensive et l’élevage industriel ont souvent des répercussions négatives sur les ressources en eau, la qualité de l’air, la déforestation et la pollution.

Comment peut-on réduire ces impacts tout en maintenant une production alimentaire adéquate ?

Comment promouvoir des pratiques agricoles et d’élevage durables ?

Comment peut-on encourager davantage de fermiers et d’éleveurs à adopter les approches durables telles que l’agroécologie et l’agriculture biologique qui gagnent progressivement en popularité.

Quel est le rôle de la sélection génétique dans l’amélioration de la résilience des cultures et des animaux d’élevage ?

Face au changement climatique et aux maladies, comment la sélection génétique peut-elle contribuer à développer des variétés de cultures et des races animales plus résistantes ?

Comment les politiques agricoles et les réglementations environnementales peuventelles promouvoir la coexistence harmonieuse de l’agriculture, de l’élevage et de la biodiversité ?

Quelles mesures gouvernementales peuvent être mises en place pour encourager les agriculteurs et les éleveurs à adopter des pratiques respectueuses de la biodiversité?

Comment les échanges internationaux de produits agricoles et d’animaux affectentils la biodiversité et les systèmes alimentaires locaux ?

Comment faire face à la menace des maladies animales transmissibles à l’homme (zoonoses) et à leur impact sur la sécurité alimentaire et la biodiversité ?

Comment peut-on réduire les risques liés à la transmission de maladies des animaux aux humains tout en maintenant l’élevage ?

Comment intégrer efficacement les technologies agricoles avancées telles que l’agriculture de précision, l’automatisation et l’intelligence artificielle pour améliorer l’efficacité et la productivité agricole ?

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La gestion efficace de l’hygiène et de la salubrité revêt une importance capitale dans de nombreux domaines de la vie quotidienne, de la santé publique à l’industrie alimentaire en passant par l’environnement. Elle est essentielle pour protéger la santé publique, prévenir les maladies, garantir la sécurité alimentaire, protéger l’environnement, respecter les normes réglementaires et favoriser la confiance des consommateurs et des employés. Elle est un élément fondamental de la vie moderne et du processus de gestion responsable des ressources et des espaces partagés (Ndam et al., 2023). Cet axe permettra de réunir et consolider les approches pluridimensionnelles des élus locaux ou concepteurs des politiques publiques, chercheurs et praticiens en charge de la gestion de l’environnement et de sa refondation (paysagistes, aménageurs, architectes, etc.). Il proposera aussi des outils efficaces et appropriés aux personnes exerçant dans des établissements du réseau de la santé à l’instar des centres hospitaliers, des centres de réadaptation, des centres d’hébergement et de soins de longue durée, des résidences pour personnes âgées, des cliniques médicales, des maisons de soins palliatifs et des centres psychiatriques. Ainsi, les participants peuvent poser diverses questions pour mieux comprendre les enjeux et les meilleures pratiques dans ce domaine.

 

Puisqu’il pourrait arriver par exemple que le personnel d’hygiène et salubrité soit en contact avec une variété de produits chimiques à l’instar des produits de nettoyage et de désinfection, des déchets produits par des services que l’on ramasse et entrepose, etc., voici quelques-unes des principales questions auxquelles ils tenteront d’apporter des réponses pratiques : Quelles sont les normes et réglementations en matière d’hygiène et de salubrité auxquelles les entreprises doivent se conformer ? Comment concevoir un plan d’entretien sanitaire efficace pour un environnement spécifique, comme un restaurant, un hôpital ou un bureau ? Quelles sont les meilleures pratiques pour prévenir la propagation des infections dans un lieu public ou une entreprise ? Comment former le personnel à maintenir des normes élevées d’hygiène et de salubrité ? Quels sont les produits de nettoyage et les équipements recommandés pour assurer un entretien sanitaire optimal ? Comment gérer les déchets de manière sûre et hygiénique ? Quelles sont les étapes essentielles pour la désinfection et la stérilisation d’équipements et de surfaces ? Comment évaluer l’efficacité des pratiques d’entretien sanitaire au sein d’une organisation ? Quels sont les risques pour la santé associés à un mauvais entretien sanitaire, et comment les éviter ? Comment intégrer des mesures d’hygiène et de salubrité dans la planification des espaces et des infrastructures ? Quels sont les défis spécifiques liés à l’entretien sanitaire dans les environnements à haut risque, comme les établissements de soins de santé ou les industries alimentaires ? Comment s’adapter aux nouvelles menaces pour la santé publique, telles que les épidémies virales, en matière d’hygiène et de salubrité ? Quelles sont les tendances émergentes en matière d’entretien sanitaire et d’innovations technologiques qui peuvent améliorer les pratiques existantes ? Comment promouvoir la sensibilisation à l’hygiène et à la salubrité au sein de la communauté et de l’entreprise ? Quelles sont les responsabilités juridiques et éthiques des entreprises en matière d’hygiène et de salubrité ? Ces questions peuvent servir de point de départ pour animer une discussion approfondie sur l’entretien sanitaire et ses implications dans divers contextes. Par ailleurs, elles permettront aux participants d’acquérir une compréhension plus complète des enjeux et des meilleures pratiques en la matière.

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Dans Dans un monde de plus en plus urbanisé et enclin aux formes multiples de violences, la question de la sécurité urbaine se trouve plus que jamais au centre des préoccupations sociales. Les organisations internationales (ONU-Habitat, Cities Alliances, etc.) s’accordent sur le fait que la sécurité a des incidences majeures sur la qualité de vie et revêt une importance encore plus fondamentale dans les milieux urbains. De ce fait, que ce soit dans les villes du Sud ou du Nord, la quête de la sécurité et l’amélioration des conditions de vie dans l’espace urbain passent par une réflexion approfondie sur le sens des choix à opérer, et non par la reprise systématique des expériences vécues ailleurs. En s’adressant à tous ceux qui participent à l’administration de la ville, cet axe permettra de réunir et consolider les approches pluridimensionnelles des élus locaux ou concepteurs des politiques urbaines, chercheurs et praticiens de la ville (urbanistes, architectes, etc.). Ces derniers pourront aborder et examiner, sur la base de leurs expériences respectives, les cinq points (non exhaustifs) suivants: l’aménagement de l’espace, l’intégration sociale, la prévention des risques et l’agencement des services essentiels. En d’autres termes, les communications de cet axe tenteront de répondre aux questions suivantes :

Quels sont les principaux défis en matière de sécurité urbaine dans notre ville, province, région et pays ?

Comment la criminalité évolue-t-elle dans les zones urbaines et quelles sont les tendances récentes ?

Quels sont les rôles des agents sociaux communautaires face au profilage racial ?

Quelles sont les meilleures pratiques en matière de prévention de la criminalité et de réduction de la violence urbaine ?

Comment les technologies émergentes, telles que la surveillance vidéo intelligente, peuvent-elles contribuer à améliorer la sécurité urbaine ?

Quels sont les programmes de prévention de la criminalité qui ont réussi dans d’autres villes et qui pourraient être adaptés à notre contexte ?

Quelles sont les stratégies pouvant permettre d’encourager la collaboration entre les différents acteurs de la sécurité urbaine, tels que la police, les autorités locales, les organisations communautaires et les entreprises privées ?

Quelle est la perception des immigrants face à la police ?

Quels sont les enjeux spécifiques liés à la sécurité des femmes, des enfants et des groupes vulnérables en milieu urbain ?

Comment garantir une réponse efficace en cas de situation d’urgence dans les environnements urbains densément peuplés ?

Quels sont les défis liés à la cybersécurité urbaine, notamment en ce qui concerne la protection des infrastructures délabrées ?

Comment les aspects sociaux, économiques et environnementaux sont-ils liés à la sécurité urbaine, et comment pouvons-nous promouvoir une approche holistique de la sécurité urbaine ?

Comment impliquer activement la communauté locale dans la promotion de la sécurité urbaine et la prévention de la criminalité ?

Quels sont les exemples de villes ou de régions qui ont réussi à améliorer considérablement leur sécurité urbaine, et quelles leçons pouvons-nous en tirer ?

Comment mesurer et évaluer l’efficacité des initiatives de sécurité urbaine mises en place ?

La police est-elle présente dans le secteur éducatif ? si oui, joue t-elle un rôle répressif ou préventif ?

Comment les politiques publiques et les décisions en matière d’aménagement urbain peuvent-elles avoir un impact sur la sécurité des citoyens ?

Comment procéder pour canaliser les gangs de rues qui participent à la croissance

des violences urbaines et de quelle façon assurer la réinsertion de ces derniers ?

Comment garantir la protection des droits de l’homme et des libertés civiles tout en renforçant la sécurité urbaine ?

Ces questions pourront servir de point de départ pour discuter des défis et des opportunités liés à la sécurité urbaine. Les réponses à ces questions peuvent contribuer à élaborer des stratégies et des politiques efficaces pour rendre nos villes plus sûres, plus résilientes et plus durables. Les communications, les ateliers pratiques, les récits de vie et les témoignages aborderont aussi les problématiques systémiques tels que le racisme, la justice sociale, le harcèlement dans les transports, les agressions, la fraude aux titres de transport, la prévention sociale des violences et des incivilités, la gestion de crise avec le partage d’expériences sur des situations actuelles ou encore la gestion de crise face à la menace terroriste, les réponses aux questions sauront aider à soutenir les municipalités urbaines et rurales et les communautés dans leurs efforts de prévention de la criminalité et de l’insécurité urbaine dans les communautés et les quartiers difficiles.

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La mondialisation des communications est un fait. C’est aussi une chance pour l’humanité, si les individus savent en faire bon usage et respectent un certain nombre de conditions. Ses effets sur le journalisme sont instantanés : il est de plus en plus difficile voire impossible de circonscrire l’information ou de faire taire ceux qui la propagent à l’ère des médias sociaux. Dans les pays du Sud et du Nord, plusieurs individus (journalistes ou amateurs) produisent et éditent des contenus sur Internet, et ils sont davantage lus par des lecteurs du monde les et meme des pays où l’imprimé peine à circuler. Cet exemple vaut pour tout journaliste, où qu’il soit, car les rotatives n’ont pas encore fini de tourner que déjà l’édition du jour est disponible en ligne. La responsabilité de chaque journaliste est donc décuplée car il n’a plus le droit d’écrire approximativement, sur quelque sujet que ce soit. D’une part, la pratique du journalisme devient un sport de haute précision pour les professionnels, refondant toute la tradition déontologique à laquelle les écoles de journalisme sont, à juste titre, tellement attachées. D’autre part, les médias sociaux font émerger de nouvelles pratiques de journalisme où les professionnels côtoient les amateurs qui se réclament aussi du milieu. Cette mondialisation des échanges d’information a une conséquence extrêmement positive : (1) elle resserre les liens qui existaient entre les individus ; (2) elle fait disparaître les frontières qui limitaient souvent l’accès à l’information ; (3) elle constitue un nouveau monde (in)cohérent où la circulation des nouvelles crée une communication plus large et rapide (Bourges, 2004).

Cet axe réunira tous ceux qui ont un intérêt pour la communication et/ou le journalisme (journalistes, amateurs, chercheurs, spécialiste de la communication, etc.) autour des questions suivantes : Quelle est l’importance de la communication dans le journalisme moderne ? Comment la technologie a-t-elle changé la façon dont les journalistes communiquent et rapportent l’information ? Quelles sont les principales tendances actuelles en matière de communication dans le journalisme ? Comment les médias sociaux ont-ils transformé la communication journalistique et l’interaction avec le public ? Quelles sont les principales éthiques de la communication et du journalisme, et comment sont-elles interconnectées ? Comment les journalistes peuvent-ils maintenir leur indépendance tout en étant influencés par les intérêts commerciaux ou politiques ? Quel est le rôle des relations publiques dans la communication des médias et comment cela affecte-t-il le journalisme ? Comment la diversité et l’inclusion sont-elles abordées dans la communication et le journalisme ? Quelle est la responsabilité des journalistes en ce qui concerne la vérification des faits et la lutte contre la désinformation ? Comment les médias traditionnels et les médias numériques coexistent-ils dans le paysage médiatique actuel ? Comment les journalistes peuvent-ils maintenir la confiance du public à une époque où la crédibilité des médias est souvent remise en question ? Quelles sont les compétences de communication essentielles que tout journaliste devrait posséder ? Comment les médias sociaux peuvent-ils contribuer à la construction de la démocratie et à la responsabilisation des gouvernements ? Quelles sont les perspectives pour la communication et le journalisme à l’ère de la numérisation et de l’intelligence artificielle ? Comment s’articule l’expression des amateurs à celle des professionnels dans l’univers communicationnel ? Comment les médias peuvent-ils jouer un rôle dans la sensibilisation aux problèmes sociaux et environnementaux ?

 

Étant donné que les médias sociaux sont devenus des lieux d’information, de jeu, de contact et de communication, mais aussi d’expression culturelle, de création identitaire, de collaboration, de contribution, de co-création et d’échange de biens informationnels, existent-ils des règles et des normes éthiques, formelles ou informelles pouvant se mettre en place pour réguler les nouveaux flux médiatiques ? Dans la majorité des structures de formation en communication et journalisme, la culture numérique semble être devenue une priorité dans l’offre de formation des futurs journalistes. Quels sont les enjeux pédagogiques qu’implique une telle intégration pour les natifs numériques (digital natives) que sont les futurs journalistes ? Faut-il encourager la polyvalence ou la spécialisation par support médiatique ? Ces questions serviront d’ancrage pour explorer de manière approfondie les défis, les opportunités et les enjeux liés à la communication et au journalisme dans le Sud et le Nord. Ainsi, chercheurs et spécialistes de diverses disciplines (communication, sociologie, anthropologie, philosophie, sciences politiques, gestion et d’autres intervenants) apporteront leurs réflexions et leurs perspectives sur ces sujets pour enrichir les discussions.

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Le domaine du droit et de la justice comprennent de nombreux acteurs qui interagissent pour élaborer, mettre en œuvre et faire respecter les lois et réglementations. Ainsi, puisque les problèmes juridiques sont vastes et variés, les problématiques relevant des différents domaines tels que : droits de l’homme, justice pénale, droit de la propriété intellectuelle, droit criminel, droit à la protection de la vie privée, droit de l’environnement, droit international humanitaire, droit de la famille, droit du travail, droit des sociétés, droit de la santé, droit de l’immigration et droit de la technologie seront abordés.

De ce fait, les principaux acteurs qui prendront part au Sommet international à l’instar des représentants du gouvernement, députés, sénateurs, juges, avocats, juristes, étudiants et chercheurs en droit, professionnels du droit international, médias et journalistes spécialisés en droit, forces de l’ordre, médiateurs et arbitres, organisations professionnelles, éducateurs en droit, dirigeants d’entreprises et les membres d’organismes non gouvernementales partageront leur vision et leurs réflexions sur les sujets d’ordre juridique, tout en essayant de répondre aux principales questions suivantes :

Comment le droit des sociétés peut-il être réformé pour encourager la responsabilité sociale des entreprises et leur durabilité ?

Comment le droit de la santé gère-t-il les questions de consentement éclairé, de responsabilité médicale et d’accès équitable aux soins de santé ?

Comment le système de justice pénale peut-il être réformé pour garantir une justice équitable et prévenir les erreurs judiciaires ?

Comment les systèmes juridiques nationaux et internationaux protègent-ils et font-ils respecter les droits de l’homme, et quelles sont les lacunes dans cette protection ?

Comment équilibrer la protection des droits d’auteur et des brevets avec l’accès du public à la connaissance et à la culture ?

Comment les lois doivent-elles évoluer pour faire face aux nouveaux défis posés par la cybercriminalité tout en préservant la vie privée des individus ?

Comment le droit peut-il être utilisé pour lutter contre le changement climatique, protéger la biodiversité et promouvoir la durabilité environnementale ?

Comment le droit international réglemente-t-il les conflits armés et protège-t-il les civils dans les zones de conflit ?

Comment le droit de la famille évolue-t-il pour refléter les changements dans la structure familiale et les besoins des individus ?

Comment les lois du travail peuvent-elles être adaptées pour protéger les droits des travailleurs tout en répondant aux besoins des employeurs dans un monde en évolution rapide ?

Comment intégrer efficacement le système de justice pour les mineurs ?

Comment les systèmes juridiques nationaux gèrent-ils les flux migratoires, les demandes d’asile et les droits des migrants ?

Comment le droit réglemente-t-il les nouvelles technologies telles que l’intelligence artificielle, la robotique, et les véhicules autonomes ?

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Ce secteur économique est confronté à plusieurs problématiques importantes qui peuvent varier en fonction des régions et des marchés spécifiques. La pandémie du COVID-19 a eu un impact dévastateur sur l’industrie du tourisme, avec des fermetures temporaires ou permanentes d’établissements, des pertes d’emplois massives et une réduction drastique de la demande touristique. L’industrie du tourisme est habituellement critiquée pour son impact environnemental, notamment les émissions de gaz à effet de serre, la surconsommation d’eau et la destruction des écosystèmes. Dans certaines destinations populaires, on assiste même à la surfréquentation touristique, ce qui occasionne des problèmes à l’instar de la congestion, la dégradation de l’environnement, la hausse des prix et la perte de la qualité de vie pour les résidents locaux. Pendant ce temps, l’industrie de l’hôtellerie et de la restauration est confrontée à des défis en matière de recrutement et de rétention du personnel qualifié, particulièrement à cause des conditions de travail difficiles avec des bas salaires. La concurrence est pourtant intense dans ce secteur d’activité, avec de nombreux acteurs, de grandes chaînes hôtelières et de restaurants ainsi que des plateformes de réservation en ligne qui mettent la pression sur les marges bénéficiaires. En plus, ce secteur d’activité doit non seulement respecter des réglementations strictes en matière de santé, de sécurité, d’hygiène alimentaire, de licences et d’immigration, mais aussi il doit s’adapter aux avancées technologiques, notamment en ce qui concerne les réservations en ligne, la gestion des données clients et les systèmes de paiement. Cependant, le secteur du tourisme, hôtellerie et restauration s’avère être l’un des secteurs économiques dont la croissance est la plus rapide au monde. C’est aussi le secteur d’activité qui offre le plus d’opportunités d’emplois, en raison d’une forte demande en matière de la main-d’œuvre. Cependant, les emplois de ce secteur économique sont connus pour leurs mauvaises conditions de travail qui pourraient s’expliquer notamment par la fragmentation desdits emplois avec une majorité de petites et moyennes entreprises. Il en résulte malheureusement un taux de syndicalisation relativement bas ; de faibles niveaux de salaires ; le travail de nuit ou encore le travail saisonnier. Les restaurants doivent s’adapter aux tendances alimentaires changeantes et répondre aux préoccupations croissantes des consommateurs concernant la qualité des aliments et leur durabilité. Pour prospérer dans ce secteur, les entreprises doivent être flexibles, innovantes et axées sur la satisfaction du client, tout en tenant compte des défis environnementaux et sociaux qui leurs sont propres. La durabilité, la formation du personnel, la diversification et l’adoption de technologies modernes sont des moyens courants de faire face à ces problématiques. Ainsi, les propositions de communications orales, les ateliers pratiques, les tables rondes et des témoignages seront articulés autour des questions suivantes :

Comment les restaurants peuvent-ils s’adapter aux changements des préférences alimentaires des consommateurs, tels que le véganisme, le sans gluten, et les régimes spécifiques ?

Comment utiliser les données clients pour personnaliser les offres de services dans l’hôtellerie et la restauration, afin de fidéliser la clientèle et augmenter les ventes ?

Comment une petite entreprise hôtelière ou de restauration peut-elle rivaliser avec les grandes chaînes internationales et les plateformes de réservation en ligne ?

Comment une entreprise peut-elle intégrer des pratiques de tourisme durable pour réduire son impact environnemental tout en attirant les voyageurs soucieux de l’environnement ?

Quelles mesures une entreprise hôtelière ou de restauration peut-elle prendre pour se préparer à faire face à d’éventuelles crises sanitaires futures et atténuer leur impact ?

Comment les nouvelles technologies, telles que à l’instar de l’IA et les chatbots, peuvent-elles être utilisées pour améliorer l’expérience client dans l’industrie de l’hôtellerie et la restauration ?

Quels sont les meilleurs moyens de recruter, former et fidéliser du personnel de qualité dans ce secteur économique hautement concurrentiels ?

Quelles stratégies une entreprise peut-elle adopter pour gérer efficacement les avis en ligne et maintenir une réputation positive sur les plateformes de notation ?

Quelles mesures doivent être mises en place pour garantir la sécurité des voyageurs, que ce soit en matière de sécurité alimentaire, de sécurité routière ou de sécurité des données personnelles ?

Quelles nouvelles opportunités d’innovation et de diversification peuvent être explorées dans l’industrie du tourisme pour attirer de nouveaux segments de clientèle ?

Comment les entreprises touristiques peuvent-elles gérer les défis liés aux saisons mortes et aux fluctuations saisonnières de la demande ?

Comment promouvoir une culture d’entreprise éthique et socialement responsable dans ce secteur, en prenant en compte les besoins des communautés locales ?

*** Pour  soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

Si l’introduction de l’intelligence artificielle (IA) en finance a créé de nouvelles opportunités de développement avantageuses pour les institutions financières et les consommateurs, elle a aussi engendré de nombreuses incertitudes et des risques liés aux activités financières, à la stabilité des marchés et les intérêts légitimes des consommateurs. Dans ce contexte, il est clair que le besoin d’encadrement de l’utilisation de l’IA en finance devient primordial.

Il est vrai que la réflexion sur l’encadrement de l’IA n’est pas un terrain vierge, mais peu de tentatives de régulation de l’IA ont été initiées à nos jours. Les régulateurs doivent s’assurer que l’utilisation de l’IA ne biaise pas les marchés financiers, ne menace pas l’équité de la concurrence et ne nuit pas aux consommateurs. C’est pour cette raison que les réflexions approfondies, les discussions et les échanges porteront sur les problématiques relatives à l’intelligence artificielle (IA) dans le secteur financier telles que la gestion des risques, l’inclusion financière, les prévisions financières, le biais et l’éthique, la sécurité et la fraude, l’automatisation des services bancaires, la réglementation et la conformité, la cybersécurité, l’éducation et les compétences, la responsabilité légale, la protection de la vie privée et l’impact sur l’emploi.

Les technologies de l’intelligence artificielle (IA) transforment tous les secteurs d’activité en améliorant les capacités humaines de prédiction, en offrant une aide à la décision ou en automatisant certaines tâches qui requièrent habituellement de l’intelligence humaine. Le secteur de la finance n’échappe pas au déploiement des systèmes d’IA (SIA) que ce soit dans le domaine de l’assurance, du crédit ou de la gestion d’actifs. Le recours à l’IA permet d’augmenter les capacités analytiques avancées et offre ainsi des avantages concurrentiels importants qui suscitent l’intérêt des institutions financières. Les conférenciers viendront de divers horizons et de tous les continents. Les débats et les échanges favoriseront la confrontation des expériences des pays du Sud à ceux du Nord autour des principales questions ci-dessous :

Quel est le rôle de l’IA dans le domaine bancaire et financier ?

Comment utiliser l’IA pour améliorer la gestion des risques financiers, y compris l’identification et la prévention des crises financières ?

Comment garantir que l’utilisation de l’IA dans les services financiers respecte la vie privée des individus et la protection de leurs données personnelles ?

Comment l’IA peut-elle être utilisée pour élargir l’accès aux services financiers dans les régions mal desservies ou pour les populations défavorisées ?

Dans quelle mesure les modèles d’IA sont-ils fiables pour prédire les mouvements des marchés financiers et des actifs ?

Comment éviter les biais potentiels dans les algorithmes d’IA utilisés dans les décisions financières, et comment garantir l’équité et la transparence ?

Comment l’IA peut-elle être déployée pour détecter et prévenir la fraude financière, y compris les transactions frauduleuses et le blanchiment d’argent ?

Quels sont les effets de l’automatisation basée sur l’IA sur l’emploi dans le secteur financier, et comment les travailleurs peuvent-ils être préparés à ces changements ?

En cas d’erreur ou de mauvaise décision d’un algorithme d’IA dans le secteur financier, qui est juridiquement responsable ?

Comment l’automatisation basée sur l’IA, en particulier les chatbots et les conseillers financiers virtuels, peut-elle améliorer l’efficacité des services bancaires tout en maintenant un niveau élevé de service à la clientèle ?

Comment les régulateurs financiers doivent-ils adapter les réglementations pour tenir compte de l’utilisation croissante de l’IA dans le secteur financier, tout en garantissant la stabilité et la protection des consommateurs ?

Comment les institutions financières peuvent-elles protéger leurs systèmes d’IA contre les cyberattaques et les menaces potentielles, tout en préservant la confidentialité des données des clients ?

Quel rôle peut jouer les finances dans le processus de développement durable ?

Comment former et éduquer les professionnels de la finance pour qu’ils comprennent et utilisent efficacement les technologies d’IA ?

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

Les Les difficultés du secteur de l’esthétique et commercialisation de la mode et du design sont nombreuses et varient en fonction des entreprises, des marchés et des tendances du marché. Ainsi, les stylistes et designers, marques de mode et de design, détaillants, mannequins, agences de publicité et de marketing, blogueurs et influenceurs, photographes et vidéastes, consommateurs, fabricants et fournisseurs, organisations de réglementation et de normalisation, organisations de développement durable et éthique, presse spécialisée et médias seront invités à mener une réflexion historique, critique et prospective, sur les chemins croisés de la conception des formes, la fabrication et l’aménagement.

Aussi, les responsables des entreprises qui créent et fabriquent des produits liés à la mode, au design et à l’esthétique, notamment des vêtements, des chaussures, des accessoires, des meubles et des produits de beauté, les designers autonomes, designers, assistants designers, designers textile, patronnistes, modélistes, assistants à la production, conseillers au service à la clientèle, acheteurs, coordonnateurs d’événements promotionnels, représentants des ventes, agents de présentation visuelle, agents import-export, coordonnateurs marketing de la mode, etc., seront accessibles et partageront leurs savoir-faire. Puisque ce Sommet international vise notamment à examiner la place de l’esthétique et la commercialisation dans le domaine de l’environnement, ces principaux acteurs en provenance des différents pays du monde partageront leurs réflexions et leurs expertises en répondant aux questions suivantes :

Comment l’industrie de la mode peut-elle concilier la recherche constante de nouvelles tendances et la durabilité environnementale ?

Quelles sont les stratégies de commercialisation efficaces pour les marques axées sur la durabilité ?

Comment les entreprises de mode peuvent-elles s’assurer que leurs pratiques de production respectent les droits des travailleurs et contribuent positivement aux communautés locales ?

Comment ces valeurs éthiques peuvent-elles être mises en avant dans leur marketing ?

Comment les marques de mode peuvent-elles rester à la pointe des tendances et de l’innovation tout en répondant aux besoins changeants des consommateurs ?

Comment ces tendances peuvent-elles être identifiées et intégrées dans la commercialisation ?

Comment les marques de mode utilisent-elles les médias sociaux et les stratégies de marketing numérique pour atteindre leur public cible ?

Quels sont les défis et les opportunités spécifiques liés à la promotion de la mode en ligne ?

Comment les marques de mode créent-elles des expériences uniques pour les clients, en ligne et en magasin afin de les fidéliser ?

Comment mesurent-elles l’impact de ces expériences sur la fidélisation et les ventes ?

Comment les marques de mode adaptent-elles leurs stratégies de commercialisation pour réussir sur les marchés internationaux ?

Comment les modèles commerciaux de fast fashion et de mode durable s’opposent-ils ou se complètent-ils ? Comment les marques de mode peuventelles aborder ces modèles de manière éthique et rentable ?

Comment les influenceurs et les célébrités façonnent-ils la perception des marques de mode ?

Comment mesurer l’efficacité de ces collaborations en termes de ventes et de notoriété de la marque ?

Comment les marques de mode gèrent-elles leur chaîne d’approvisionnement de manière efficace et transparente ? Comment cette gestion peut-elle être mise en avant dans leur communication marketing ?

Comment les préférences des consommateurs en matière de mode évoluent-elles en fonction des tendances socioculturelles et des événements mondiaux ?

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

S’installer dans un nouveau pays peut être difficile sur le plan culturel. Les immigrants doivent s’adapter à une nouvelle culture, à une nouvelle langue et à de nouvelles normes sociales, ce qui peut être un défi. D’ailleurs, quitter son pays natal pour s’établir dans un autre pays, représente un grand défi que relèvent chaque année des millions de personnes à travers le monde ! De ce fait, bien que le Canada fait partie des pays les plus ouverts à l’immigration pour des raisons économiques, sociales, humanitaires et politiques (Diop, 2008 ; Helly, 2008 ; Jaffrelot et Lequesne, 2009, Mouafo, 2015), y immigrer peut présenter plusieurs défis pour les immigrants potentiels. En effet, le Canada étant une destination très prisée pour l’immigration, de nombreux candidats postulent pour un nombre limité de places. Cela rend la concurrence féroce, en particulier dans certains programmes d’immigration économique. Par exemple, en 2021, plus de 400 000 nouveaux résidents permanents ont été accueillis au Canada (Statistiques Canada, 2021).

Ainsi, il s’agirait du plus grand nombre de nouveaux arrivants en une année dans l’histoire du Canada, car ce chiffre dépasse le record enregistré depuis 1913. Le Canada a des critères de sélection stricts en matière d’immigration. En fait, les candidats doivent par exemple répondre à certaines exigences en matière d’âge, de compétence linguistique, d’expérience de travail, de niveau de scolarité, et de santé pour être admissibles à un visa d’immigrant. Le processus d’immigration au Canada est souvent long et les délais d’attente varient en fonction du programme auquel les personnes postulent. Certaines demandes peuvent prendre plusieurs mois, voire plusieurs années, pour être traitées. Il faut ajouter à cela, les frais de demande, sans oublier que les candidats doivent aussi prévoir des fonds pour leur installation, y compris le logement, la nourriture, les soins de santé et d’autres dépenses de base. De plus, les immigrants qui possèdent des qualifications ou expériences professionnelles obtenues à l’étranger peuvent avoir du mal à faire reconnaître leur acquis de formation ou leur expérience professionnelle au Canada. Ils peuvent devoir suivre des cours supplémentaires, des formations manquantes ou obtenir une reconnaissance officielle de leurs compétences. Les immigrants doivent aussi trouver un logement, un emploi, s’inscrire à des services de santé et s’intégrer dans leur nouvelle communauté.

Les délais d’attente souvent longs ainsi que le processus d’immigration qui implique une grande quantité de documentation, de formulaires et de démarches administratives peuvent représenter un défi émotionnel et une source de stress chez de nombreux candidats. Pour faire face à ces difficultés, il est essentiel de bien se préparer avant de postuler à l’immigration au Canada. Cela peut inclure la recherche des exigences spécifiques du programme auquel vous postulez, la constitution d’un dossier solide, la planification financière, l’apprentissage de la langue et la recherche sur la vie au Canada. Envisager de faire appel aux professionnels en immigration canadienne peut être essentiel pour naviguer dans le processus.

La plupart des chercheurs (Garant, 2002 ; Lenoir, 2006 ; Kadiri Hassani, 2008 ; Bastien, 2011 ; Nikuze, 2011 ; Mouafo, 2015) s’entendent pour dire que les immigrants sont confrontés aux différents problèmes d’insertion socioprofessionnelle et politique dans leur pays d’accueil. Parmi eux, certains groupes racisés, particulièrement ceux en provenance de l’Afrique subsaharienne, vivent des difficultés au cours des différentes étapes de leur intégration en emploi. Malgré les politiques mises en place en matière d’immigration au Canada pour favoriser l’intégration des immigrants, tout ne se passe toujours pas comme voulu ou comme prévu. L’immigrant doit généralement entreprendre un combat dans lequel il se sent souvent seul, abandonné à lui-même, forcé d’emprunter diverses voies pour survivre, pour se frayer une place au soleil, autrement dit, pour obtenir un emploi qui lui permettrait d’améliorer sa situation socio- économique. Selon plusieurs auteurs (Garant, 2002 ; Chicha et Charest, 2006 ; Mouafo, 2015), la quasi-totalité des immigrants au Canada, et au Québec en particulier, ont une histoire similaire. En effet, d’après le récit de ces derniers, ils semblent vivre les mêmes péripéties, ils ont dû cogner la tête à gauche et à droite pendant plusieurs années, et ce n’est qu’au bout de cinq ou dix ans que certains peuvent se sentir intégrés dans le système (Mouafo, 2015).

Donc, en admettant l’hypothèse selon laquelle la majorité des immigrants au Canada vivent des difficultés d’intégration en emploi (Fortin, 1995, 2000, 2003 ; Vatz Laaroussi, 2002 ; Begin, 2009 ; Arcand et al., 2009 ; Namazi, 2010 ; Montgomery, 2010 ; Mouafo, 2015), on peut se poser plusieurs questions aux causes réelles des problèmes d’intégration en emploi des minorités dites racisées. La présente sous-section vise à diagnostiquer en profondeur la problématique de l’intégration socio-économique et politique des immigrants au Canada, notamment au Québec. Les échanges porteront également sur les propositions pouvant contribuer au renforcement des politiques gouvernementales afin d’améliorer l’intégration socio-économique et politique des immigrants. Compte tenu de ce constat, professionnels, techniciens, chercheurs, décideurs, membres de la communauté immigrante sont appelés à répondre aux différentes questions soulevées de façon récurrente comme :

Existe-t-il des exemples de campagnes de socio-financement qui ont connu le succès au sein des communautés étrangères au Canada?

Pourquoi les immigrants ont-ils autant de mal à trouver leur place dans le système canadien et québécois en particulier ?

Les politiques d’intégration des nouveaux arrivants au Québec sont-elles adaptées et efficaces ?

Quelles sont les propositions à adresser aux différents paliers gouvernementaux ?

Comment résoudre la problématique de l’intégration des nouveaux arrivants au Canada et particulièrement au Québec ?

Quels sont les outils capables d’orienter les interventions socioprofessionnelles et publiques en matière d’aide à l’immigration ?

Les communautés immigrantes du Québec et du Canada peuvent-elles innover et proposer leur propre modèle de sociofinancement ?

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet.

La théologie et la religion présentent diverses difficultés, à la fois du point de vue académique et pratique. La diversité des religions, des croyances et des pratiques religieuses pose un défi pour les théologiens et les chercheurs, car ils doivent tenir compte de nombreuses perspectives et approches différentes. Les textes religieux sont souvent anciens et écrits dans des contextes culturels très différents. Leur interprétation peut être sujette à des désaccords importants au sein de chaque tradition religieuse. La religion repose souvent sur la foi plutôt que sur des preuves empiriques. Cela peut être un défi pour les croyants qui cherchent à concilier leur foi avec les attentes de preuves rationnelles.

La théologie est confrontée au problème du mal, c’est-à-dire comment expliquer la présence du mal et de la souffrance dans un monde supposément créé par un Dieu bon et tout-puissant. La coexistence de multiples religions et croyances soulève des questions sur la façon dont les adeptes de différentes religions peuvent dialoguer de manière constructive et respectueuse. Les avancées scientifiques ont parfois mis en conflit les croyances religieuses, en particulier dans des domaines tels que l’évolution, la cosmologie et la génétique. Les religions doivent faire face aux évolutions de la société et de la culture, ce qui peut entraîner des défis pour leur pertinence et leur adhésion. La relation entre les institutions religieuses et les gouvernements suscite des questions sur la séparation de l’Église et de l’État, ainsi que sur la liberté religieuse. Par exemple, les enseignements religieux peuvent souvent être interprétés de manière différente, ce qui peut créer des débats sur des questions éthiques contemporaines, telles que l’avortement, l’égalité des sexes, le mariage homosexuel, etc. Dans certaines parties du monde, il y a un déclin de l’adhésion religieuse, ce qui soulève des questions sur l’avenir de la religion et de la spiritualité. D’ailleurs, ces difficultés ne sont que quelques exemples de la complexité et des défis que pose l’étude de la théologie et de la religion, que ce soit sur un plan académique ou dans la pratique religieuse au quotidien. De plus, le domaine de la théologie et de la religion englobe une variété de professions et de spécialisations, chacune jouant un rôle important dans l’étude, la pratique et la transmission des connaissances religieuses. Il s’agit notamment des leaders religieux qui fournissent un leadership spirituel, glorifient des rituels religieux et fournissent des conseils spirituels à leur communauté.

Ces professionnels travaillent dans divers contextes, des institutions religieuses aux établissements d’enseignement, en passant par les organisations humanitaires et les médias, contribuant ainsi à la compréhension et à la pratique des religions à travers le monde. De ce fait, les membres du Clergé (les prêtres, les pasteurs, les imams, les rabbins, les moines, les moniales, etc.,), les religieux et religieuses, les professeurs de théologie, les spécialistes en histoire des religions, les missionnaires, les conseillers spirituels, les archéologues religieux, les théologiens éthiques, les érudits des religions du monde, les leaders interreligieux, les travailleurs humanitaires religieux et les écrivains religieux seront des conférenciers et panélistes qui partageront leur savoirfaire. Puisque ces professionnels travaillent dans divers contextes, des institutions religieuses aux établissements d’enseignement, en passant par les organisations humanitaires et les médias, contribuant ainsi à la compréhension et à la pratique des religions à travers le monde, les propositions de communications orales, les tables rondes et des témoignages seront articulés autour des questions suivantes :

Les théologiens et philosophes discutent depuis longtemps des caractéristiques de Dieu, telles que son omnipotence, son omniscience, son omniprésence et sa bonté. Ces caractéristiques sont-elles compatibles ?

Comment les croyants devraient-ils aborder les questions éthiques et morales, et comment les enseignements religieux influencent-ils l’éthique individuelle et sociale?

Comment équilibrer les intérêts religieux et laïques dans une société démocratique ? Quelle est la place de la religion dans les institutions gouvernementales ?

Comment les religions répondent-elles aux défis contemporains tels que la mondialisation, le pluralisme religieux, les questions environnementales et les droits de l’homme ?

Quelles sont les principales différences entre la théologie chrétienne, la théologie islamique et la théologie bouddhiste ?

Comment les enseignements religieux influencent-ils les questions éthiques liées à des sujets contemporains tels que l’avortement, l’euthanasie, le mariage homosexuel et la modification génétique ?

Quelles sont les interprétations et les significations de la vie après la mort dans différentes religions ? Comment ces croyances influencent-elles les comportements et les attitudes envers la mortalité ?

Comment les grandes religions du monde, telles que le christianisme, l’islam, le judaïsme, le bouddhisme et l’hindouisme, abordent-elles la question de la création du monde et de l’origine de l’humanité ?

Comment les mouvements interreligieux et les dialogues interreligieux contribuent-ils à la compréhension mutuelle et à la paix entre les croyants de différentes confessions ?

Quels sont les défis actuels auxquels sont confrontées les institutions religieuses, tels que le déclin de l’adhésion religieuse, les scandales sexuels dans l’Église et les critiques de l’orthodoxie religieuse ?

Comment les enseignements religieux influencent-ils les politiques gouvernementales et les lois dans différentes sociétés, en particulier en ce qui concerne les questions de moralité et de droits de l’homme ?

*** Pour soumettre une communication, veuillez cliquer sur l’une des propositions ci-dessous :

* Proposition des communications orales
* Proposition des ateliers pratiques / Simulations
* Proposition des récits de pratiques
* Proposition des témoignages
* Proposition des présentations par affiches
* Modalités d’évaluation des communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet.

Toute proposition orale doit se rapporter à l’un des trois (3) axes constitués de dix-huit (18) domaines professionnels précédemment définis et respecter les conditions ci-dessous :

  • Titre de la communication (30 mots maximum) ;
  • Résumé, cinq paragraphes (300 mots maximum) :
    • Contexte de l’étude ;
    • Objectifs de l’étude ;
    • Méthode utilisée ;
    • Principaux résultats obtenus ;
    • Conclusion
  • Liste des auteurs et des coauteurs (prénom, nom, statut, institution) ;
  • Coordonnées des auteurs (adresses, courriel, téléphone) ;
  • Biographique (cinq lignes maximum).

*** Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

Chaque atelier pratique proposé doit se rapporter à l’un des axes précédemment définis ou appartenir à l’une des thématiques définies tout en respectant les conditions suivantes :

  • Titre de l’atelier (30 mots maximum) ;
  • Résumé, cinq paragraphes (300 mots maximum) :
    • Justification de l’atelier ;
    • Méthode ;
    • Moyens d’animation ;
    • Conclusion ;
    • Principaux résultats attendus.

*** Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org  ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

  • Titre de l’atelier (30 mots maximum) ;
  • Résumé, cinq paragraphes (300 mots maximum) :
    • Justification de récits de pratiques ;
    • Méthode ;
    • Moyens d’animation ;
    • Conclusion ;
    • Principaux résultats attendus.

*** Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

  • Titre de l’atelier (30 mots maximum)
  • Résumé, cinq paragraphes (300 mots maximum)
    • Justification des témoignages ;
    • Méthode ;
    • Moyens d’animation ;
    • Conclusion ;
    • Principaux résultats attendus.

*** Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

  • Titre de l’atelier (30 mots maximum)
  • Résumé, cinq paragraphes (300 mots maximum)
    • Justification de l’atelier ;
    • Méthode ;
    • Moyens d’animation ;
    • Conclusion ;
    • Principaux résultats attendus.

*** Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

Le résumé de chaque communication sera évalué de façon anonyme par le comité scientifique et ceux qui ne répondront pas aux critères ci-dessus ne seront pas retenus par ledit comité.

    • Cohérence avec l’un des axes du Sommet international ;
    • Rigueur scientifique ;
    • Contribution à l’avancement de développement des compétences ;
    • Clarté et originalité de la proposition ;
    • Transférabilité ;
    • Pertinence ;
    • Résultats des travaux ;
    • Question de recherche ou objectif clairement exposés ;
    • Cohérence entre question de recherche et méthode ;
    • Méthode d’analyse exposée clairement ;
    • Mention d’un résultat principal ;
    • Forces et limites.

*** Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org ou  cliquer ici pour vous inscrire au Sommet. 

  • L’inscription au Sommet international sur le perfectionnement professionnel et la recherche scientifique couvre les frais de participation à toutes les activités et l’adhésion à la Revue d’innovations pédagogiques (Les Éditions AIPDP), ainsi qu’une attestation de participation au Sommet. Le tableau ci-dessous présente les frais selon le profil des participants :

 L’inscription au Sommet international sur le perfectionnement professionnel et la recherche scientifique couvre les frais de participation à toutes les activités et l’adhésion à la Revue d’innovations pédagogiques (Les Éditions AIPDP), ainsi qu’une attestation de participation au Sommet. Le tableau ci-dessous présente les frais selon le profil des participants :

Profils des participants
Liens de paiement (frais non remboursables ni transférables)

Enseignant (e)s – chercheur (e)s ($ CAN 605.00)

Praticiens, industriels, travailleurs indépendants, ONG et autres ($ CAN 555.00)

Doctorant (e)s et autres étudiant (e)s de cycles supérieurs ($ CAN 405.00)

Membres de l’AIPDP Canada** /Partenaires de l’AIPDP Canada ($ CAN 155.00)

IX. Modalités de paiement et/ou soumission des dons (1, 2 ou 3)
Choisissez l’option de paiement qui vous convientBIC \ SWIFTInstitutionTransitNo de compte du bénéficiaire 
1☐

 

Virement bancaire

CCDQCAMM0815302610271433 – 5
Banque du bénéficiaire
Fédération des caisses Desjardins du Québec
100, rue des Commandeurs
Lévis (Québec) Canada – G6V 7N5
2☐Chèque à l’ordre deAssociation pour l’innovation pédagogique et le développement professionnel (AIPDP)
Adresse : 7895 Rue Notre-Dame Est, Suite 209 Montréal (QC), H1L 3K7, Canada (Canada)
3☐Virement Interac :    Courriel : inscriptions@aipdp.org              
4☐

Paiement par …

·        Visa

·        MasterCard

·        American Express

     Cliquez sur le lien suivant pour vous inscrire au Sommet international

       https://www.aipdp.org/tableau-des-liens-de-payement/
OU
 Scannez le QR code pour vous inscrire 

Paiement QR3

N.B. Un certificat de participation sera remis à chaque conférencier(e) qui prendra part au Sommet international et les articles retenus seront publiés

X. Critères de soumission de communications

Veuillez envoyer votre proposition de communication à l’adresse suivante : sommet2024@aipdp.org

N.B. La date limite pour soumettre une proposition de communication est le 30 décembre 2023 à 17h00

Déroulement des activités Dates limites
Appel à communications ( 9 octobre 2023)
Inscription (début, 9 octobre)
Inscription des conférenciers (nationaux et internationaux) Encore des possibilités d’inscription dans certains pays
Envoi des réponses (communications par affiche) 10 janvier 2024
Envoi des réponses (appel à communications) 20 janvier 2024
Diffusion du programme complet du Sommet international 31 mars 2024
Tenue du Sommet international6, 7, 8, 9 et 10 mai 2024
Date limite de réception des articles pour publication (Revue scientifique – AIPDP Canada)16 février 2024
Envoi des réponses (Articles retenus pour publication) 29 février 2024